Lorsque tu viens me voir
Qu’à nouveau je me mine,
Et revient mon cafard.
Et tes joues sont rosées,
Tes lèvres frémissantes,Et je te sens troublée,
Et je te sens aimante,
Mais n’est-ce qu’une idée
Folle parmi mes rêves ?Je ne puis me tromper
Encore, ou bien je crève…
Et lorsque tu t’en vas,
Que mon âme damnéeSuis chacun de tes pas
Triste et abandonnée,
Je ne puis m’empêcher
D’attendre ton regardDussé-je m’y noyer
Et sombrer dans le noir,
Mais quand tes jolis yeux
Enfin sur moi se lèvent,Récompense des Dieux,
Si intense et si brève,
Alors renaît l’espoir
De la félicité,Et je me mets à croire
Que tu pourras m’aimer…
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