Tu m’aurais permis de t’aimer,
Je t’aurais inondé de fleurs
J’eus été un amant comblé,
J’aurais été sans désespoir
Sans crainte de te côtoyer,Loin de ces foutues idées noires,
Sans me lasser de tant t’aimer.
J’aurais écrit des vers paisibles
Que l’amour seul eut inspiré,Des écrits aux mots impossibles
Qui ne t’auraient pas fait pleurer
Mais qui t’auraient ému sans doute
Donnant des éclairs de tendresseA ce regard qui me déroute
Et dont j’eus voulu des caresses,
Ainsi j’aurais pu t’adorer
Passionnément, à la folie,Et arracher sans m’inquiéter
Les pétals de ma pauvre vie.
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