Ou bien grisé par la vitesse,
On se tue en faisant la fête
Perdu dans des fumées épaisses,
On peut périr au nom de Dieu
Ou pour défendre sa patrie,Ou choisir de fermer les yeux
Par simple dédain de la vie,
On peut crever d’amour un soir
En adorant un être humain,Submergé par le désespoir
Et le cœur au bout du chemin…
Chacun est maître de ses jours
Détient sa propre vérité,A la naissance on a l’amour,
On a aussi la liberté
De disposer de son histoire
Et d’y placer sa propre finParce qu’on a cessé d’y croire
Et que l’espoir n’est qu’un mot vain.
Non, nul ne doit rien à personne
Le mot Devoir n’existe pasEt cette vie que l’on nous donne
Elle est à nous, et de plein droit !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire