Et quand de ta beauté
Parfois te souviendras
Et que de tes attraits
Plus rien ne restera
Que ton joli sourire,Tes petits yeux de chat,
Alors je pourrai dire
Combien je t’ai aimée
Combien j’ai cru mourirEt combien j’ai pleuré,
Combien je fus martyr
De ce putain d’Amour
Qui a tout dévastéEt qui au dernier jour
Hantera mes pensées.
Tu auras quant à toi
Poursuivi ton destin,Eliminé en toi
Les quelques importuns,
Lesquels auront parfois,
Peut-être, troublé ton cœur,Et dont je ne fus pas
Pour mon plus grand malheur.
Même vieille et fourbue
Je t’aimerai encoreToi que j’aurais voulu
Veiller jusqu’à ma mort,
Mais vieille, tu ne l’es pas,
Ou du moins pas encore,Et moi je suis bien las
Qui me croyais si fort.
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